Avec la psychogénéalogie, on étudie les caractéristiques de notre système familial (est-on riche, pauvre, solitaire ou plusieurs fois marié, migrant ou enraciné, premier d’une lignée ou petit dernier, etc). La personne qui consulte mène une sorte d’enquête pour débusquer les fantômes psychiques, c’est-à-dire des émotions que nos ancêtres n’ont pas réussi à intégrer (à digérer). Le trauma a été passé sous silence et se transmet jusqu’à nous d’inconscient à inconscient et par voie épigénétique (une branche de la génétique).
On dessine son arbre à la main, car l'inconscient s'exprime aussi par la manière de représenter.
Cette approche pose que ce qui nous encombre ne vient pas en soi de la petite enfance mais d’un passé plus lointain. Même les évènements traumatiques auxquels nous avons personnellement pu être confrontés sont des réactivations d’un trauma plus ancien.
Le travail se déroule en séance individuelle, de préférence en présentiel même si le distanciel est possible.
Chaque séance dure environ 1h30 et coûte 80 euros.
Vous pouvez annuler ou déplacer la date d'une séance jusqu'à 2 jours avant le rendez-vous. Sinon, la séance est due, sauf si nous pouvons la décaler dans les prochains jours.
La durée du travail dépend de vous, mais il s’agit de toute façon d'une thérapie brève.
En dessinant son arbre, on réalise une sorte de cartographie de son psychisme.
Les bases de la psychogénéalogie ont été posées par Anne Ancelin Schüzenberger au début des années 1980. Depuis cette époque, les clés de lecture d’un arbre généalogique se sont affinées et diversifiées. On étudie les répétitions, et notamment les dates, mais aussi la structure du système familial et les maladresses graphiques, on est attentif aux ressentis corporels et aux synchronicités. Des concepts très éloignés de la psychologie, comme le syndrôme anniversaire, le gisant, le deuil gelé, le jumeau perdu, l’enfant de remplacement, le secret, etc, permettent de décrypter les traumas, d’identifier les fantômes et les liens de loyautés qui nous entravent. L'appartenance redevient positive.
... Le.la consultant.e dessine son arbre, il dépose sur une grande feuille de papier les informations biographiques familiales, qu’il croise avec les récits familiaux mais aussi ses souvenirs et impressions personnelles. Dans un second temps, il complète éventuellement avec des recherches dans les archives – je vous guide dans ce travail.
Dans le transgé, l’échange entre le thérapeute et le.la consultante est dynamique. Nous partons de ce qui vous encombre, de votre symptôme, de votre demande, pour remonter à l’évènement perturbateur. Nous faisons des hypothèses, en cherchant ce qui fait sens pour vous.
Les exclus, ceux dont personne ne se souvient plus ou presque, sont une des clés du malaise familial
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